AccueilAccueil  CalendrierCalendrier  Dernières imagesDernières images  FAQFAQ  RechercherRechercher  MembresMembres  GroupesGroupes  S'enregistrerS'enregistrer  ConnexionConnexion  
Fermeture du Forum. Merci de votre implication :l:
-21%
Le deal à ne pas rater :
LEGO® Icons 10329 Les Plantes Miniatures, Collection Botanique
39.59 € 49.99 €
Voir le deal

Dribble then hit that lay up © Nastia & Luther

Sujet: Dribble then hit that lay up © Nastia & Luther   10.04.21 22:17
Luther Boukov
Don't You (forget About Me)
Luther Boukov
J'ai raconté : 29 fois ma vie et j'ai : 28 ans. On dit de moi que je ressemble à : Colton Haynes . C'est cool ! Sinon dans le passé j'étais : James Naismith (l'inventeur du sport au ballon orange là) . J'ai rejoint le forum le : 05/04/2021

Dribblethen hit that lay upfeat @Nastia Boukova

"Luther Boukov, star et meneur des Sixers a été opéré d’une rupture des ligaments croisés, et sera indisponible pour au moins 6 mois." Le journaliste avait annoncé cela avec un regard triste, c'était sûrement un fan. "Et nous allons de suite revoir le moment de sa blessure, attention, les images qui vont suivre peuvent choquer la sensibilité de certains." Il ajouta.

Luther serra davantage sa fourchette dans sa main et serra la mâchoire. Revoir le début du match contre les Pacers, qui devait les mener à une victoire facile, et ensuite voir son genou totalement partir, la douleur sur son visage et les applaudissements de ses fans lorsqu’il était sorti sur une civière n’étaient pas des choses qu’il appréciait énormément depuis qu’il avait été opéré.

Il éteignit la télé soudainement et il jeta la télécommande loin de lui pour éviter d’être tenté de rallumer la télé et de voir ce que les médias disaient de lui. Il finit alors son repas et laissa tout sur la table, après tout la femme de ménage était là pour ça et il partait, elle allait avoir assez de congés comme ça.



Luther avait dû se débrouiller tout seul avec une valise et des béquilles pour la simple et bonne raison qu’il avait refusé de se faire opérer à Santa Barbara et opté pour le chirurgien dont ses coéquipiers lui avait parlé. Bien entendu, ça n’avait pas plu à son père et il était donc arrivé, non sans mal à Santa Barbara avec une petite valise, beaucoup trop de points de suture et des béquilles.

Avec la chance qu’il avait, il était sûr de voir des paparazzis à la sortie de l’aéroport, et bien qu’il aime le fait d’être en couverture, il n’avait pas particulièrement envie qu’on le voit dans cette situation, même si les béquilles mettaient bien entendu ses biceps en avant, et qu’il serait attirant dans tous les cas.

Mais, voyez-vous, la blessure est une étape de la vie du sportif professionnel, cela ne veut pas pour autant dire que Luther accepte cela. Étant souvent comparé à Dieu, il déteste être vu lors de ses moments de faiblesse. Enfin, faiblesse est un grand mot, Luther n’est pas faible, il a quelques fois des jours sans, mais comme tout autre humain non ?



Il était enfin dans le bâtiment des Boukov, il en profita alors pour regarder autour de lui, les grandes vitres permettant d’avoir un visuel sur tous les bureaux et salles qu’il passait. Son père aimait beaucoup trop le pouvoir.

Il déambulait dans les couloirs de l’entreprise familiale, un employé de Boukov.Inc derrière lui, l’amenant au bureau de sa soeur.
Dire qu’il était ravi que sa soeur soit celle qui serait à la tête de sa rééducation serait un mensonge, mais s’il était franc avec lui-même, il avouerait qu’il n’en était pas non plus mécontent. En effet, en plus de l’avoir gentiment poussé à venir passer les six prochains mois, minimum, à Santa Barbara, son père lui avait répété de nombreuses fois que ce serait pour lui l’occasion de voir le travail que Nastia faisait et pourquoi pas prendre sa place.

Il arriva face à l’ascenseur et pressa le bouton l’amenant à l’étage où le bureau de sa soeur se trouvait. 

Son père avait toujours voulu qu’il prenne sa suite, soit l’empereur du sport à la place de sa soeur, mais lui, ça ne l’intéressait guère, c’est bien pour ça qu’il était content d’avoir signé avec les Sixers. 
Après ça, le peu de contact qu’il entretenait avec sa famille avait encore diminué, alors aujourd’hui, même s’il ne l’avouerait jamais, il appréhendait la réaction de sa soeur. 

Quelques secondes après, le jeune homme qui le suivait à la trace avec sa valise (car oui, il n’avait pas eu l’occasion de laisser ses affaires quelque part, tout était vraiment géré par Boukov.Inc) frappa à la porte sur laquelle il était écrit "Nastia Boukova".

A la vue de ce petit panneau, un petit sourire se plaça sur le visage de Luther, après tout, il était fier de sa soeur, même si, ça non plus il ne le dirait pas, et surtout pas à elle.

Il attendit patiemment que sa soeur lui dise d’entrer, debout avec ses béquilles et ses bras qui commençaient à fatiguer après ce long voyage.
Sujet: Re: Dribble then hit that lay up © Nastia & Luther   30.07.21 12:03
Nastia Boukova
House of Memories
Nastia Boukova
Quoi ma gueule ? : Dribble then hit that lay up © Nastia & Luther 3e4c9b6427957cf2c81e1c02de51cace
J'ai raconté : 263 fois ma vie et j'ai : 31 ans. On dit de moi que je ressemble à : Elizabeth Gillies . C'est cool ! Sinon dans le passé j'étais : La douce et mystérieuse Anastasia Romavov, triste fille du dernier Tsar de Russie, qui a vit sa vie basculé à 17 ans. . Dans le coin, j'habite à : Dans la grande maison n°7, Parma . Pour occuper mes journées, je suis : Directrice de la branche sportive de Boukov.Inc et je remercie : becrash . J'ai rejoint le forum le : 27/03/2020

Dribblethen hit that lay upfeat @Luther Boukov

« Nastia, ma chérie, j’ai besoin de toi dans mon bureau. » Zut. La russe avait tenté d’être discrète en passant devant le bureau de son père, passage obligé pour aller voir le service de comptabilité générale. La chance avait fait que son bureau était à l’état inférieur, là où toutes la gestion sportive était mené mais lorsqu’elle avait besoin de demander des fonds supplémentaires pour loger ses joueurs ou en réparer un, elle devait monter et passer devant le bureau qu’elle redoutait tant. A chaque fois, elle avait peur qu’il ne l’appelle pour une raison ou une autre. Elle savait qu’à CHAQUE FOIS, il trouverait le moyen de la rabaisser en lui reprochant des bêtises ou en prenant une décision à sa place et surtout qui ne plairait pas à sa fille. Pour un homme qui vantait le travail de sa fille à tous ses copains millionnaires, il passait son temps à la faire se sentir comme une merde. Il était même champion poids lourd dans ce domaine.

Malgré son dégout, elle entra dans le bureau de son père en arborant un sourire poli, celui qu’elle réservait aux actionnaires de la société. « Bonjour père, que puis-je pour vous ? » demanda t-elle en russe et en le vouvoyant. Ce n’était pas la langue qu’il employait au sein de l’entreprise mais une envie de prendre le dessus titillait la jeune femme. Son russe n’était pas aussi bon que celui que son père mais elle savait qu’il n’oserait pas prendre autant de libertés verbales si sa fille faisait un effort pour parler leur langue maternelle. Le vouvoiement était, lui, de rigueur dans leurs relations professionnelles. Enfin, dans un sens. Elle tutoyait ses acolytes les plus proches mais jamais son père qui était officiellement son patron. « Tu ne me demandes pas comment je vais ? Je t’ai éduqué à être plus polie. » Tu ne m’as pas éduqué crétin, la nounou l’a fait pensa t-elle en faisant son possible pour éviter de rouler des yeux. « Veillez m’excuser. Comment allez-vous ? » Le sourire de supériorité de son père, elle le détestait. Et voilà que celui-ci s’agrandissait de seconde en seconde. « Merveilleusement bien ! J’ai une super nouvelle à t’annoncer. Essaye de deviner tiens ? » Il ne retournait bien sûr pas la politesse et cherchait à la rabaisser. « Je ne sais pas père, j’attends avec impatience que vous me le disiez. » C’était la meilleure réponse à fournir. Sinon, le manège de son père durait des heures. « Oh, tu n’es même pas drôle. » Nikolaï Boukov, cet homme-enfant.

« Nous accueillons aujourd’hui un nouveau joueur pour l’équipe de basket. J’ai tout arrangé. » La brune haussa un sourcil. Tout transfert devait se faire en passant par elle, et très rarement en plein milieu de saison. « De qui s’agit-il ? » demanda t-elle en repassant à l’anglais. Son air sérieux et la colère dans ses yeux découragea son père de faire un commentaire sur le changement de langue. « Un joueur incroyable, une véritable mine d’or. Je te laisserais découvrir son identité par toi-même, tu vas l’adorer ! » Lorsqu’il lâcha ses derniers mots, sa fille sut qu’elle n’avait pas l’apprécier. « Un star du basket, tu n’as rien à craindre. » ajouta t-il devant le silence de sa fille. « Hum hum. Et pourquoi ne pas attendre la période des transferts ? ». Son père marqua une pause. « Il a récemment subi une blessure, cela coutait moins cher d’en profiter maintenant. » La politesse avait quitté la conversation et la voix de Nastia lorsqu’elle cracha presque : « Je croyais que nous n’acceptions plus de joueur blessé car il coute trop cher à réhabiliter. Où sont les documents officiels ? » « Il en vaut la peine. Et tu recevras les documents ce soir. » Son téléphone sonna et le père Boukov décrocha en faisant signe à sa fille d’attendre. Elle bouillonnait. « Nastia, il est en train d’arriver, va l’attendre et l’accueillir dans ton bureau. » C’était la cerise sur le gâteau. Elle sortit en trombe pour rejoindre ce ‘’fameux’’ joueur.

Une fois arrivée dans son bureau, elle s’assit dans sa fidèle chaise, furieuse. Elle entendit soudainement toqué, mis une seconde avant de dire à la raison de sa colère d’entrer dans son bureau. Qu’elle ne fut pas sa surprise en constatant qu’elle connaissait très bien cette ‘’star du basket’’. « Lu…Luther ? C’est toi qui rejoint mon équipe aujourd’hui ? » Elle jeta un coup d’œil aux béquilles. Bien que la carrière de son frère ne l’intéresse pas plus que cela (surtout à cause de leurs différences), elle avait appris pour sa blessure. Cela avait été le sujet principal de toute son équipe depuis que l’événement avait eu lieu. Beaucoup redoutait que cela puisse arriver aux joueurs. « Assis-toi donc. » Elle chassa le jeune homme qui trainait les valises et rentra dans le vif du sujet. « Quelles raisons ont bien pu te pousser à revenir ici ? Père n’a pas envoyé de voiture pour son fils chéri ? ».



Pssssttt:

Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
Pub RPG DesignOnce upon a timeWelcome to PandoraEverybody LiesThe MastermindRomantic LoversThe Secret Of HappinessLes Chroniques de LondresImperium